La confrontation a persisté pendant plusieurs heures précise le communiqué.
Les forces yéménites ont souligné, mercredi, dans un communiqué que leurs unités navales, de missiles et de drones avaient exécuté conjointement une opération militaire ciblant des navires de guerre hostiles en mer Rouge, y compris le porte-avions américain USS Harry S. Truman, « à partir duquel l’agression contre le Yémen était lancée ».
Par ailleurs, les forces yéménites ont lancé des attaques aux drones contre des sites militaires israéliens dans la ville occupée de Jaffa, près de Tel-Aviv. Ces frappes « ont atteint avec succès leurs cibles », a indiqué le communiqué, rappelant que ces opérations ont été menées « en solidarité avec le peuple palestinien opprimé à Gaza ».
Les forces yéménites ont réaffirmé leur engagement à résister à l’agression américaine, qui vise leur nation en raison de leurs opérations pro-palestiniennes, et ont promis de répondre à l’escalade des tensions de manière proportionnée.
Malgré les attaques américaines en cours contre le Yémen, qui ont récemment ciblé la ville de Saada dans le nord-ouest du pays, les forces yéménites ont affirmé qu’elles continueront d’interdire aux navires israéliens et à ceux liés à Israël de traverser les principales voies maritimes. Les Américains assurent que 70% du trafic maritime US dans la région a été annulé.
Les forces yéménites ont commencé à appliquer l’interdiction en octobre 2023 en réponse au déclenchement de la guerre génocidaire israélienne et au renforcement de son blocus déjà étouffant sur la bande de Gaza. Elles ont suspendu les frappes après que le régime sioniste a conclu un accord de cessez-le-feu avec le mouvement de résistance Hamas à Gaza, mais elles ont repris les attaques ce mois-ci pour contraindre le régime de Tel-Aviv à cesser ses violations de l’accord et la reprise ultérieure de la guerre, ainsi que pour le forcer à lever le blocus.
Mardi, les forces yéménites ont revendiqué avoir ciblé l’aéroport Ben Gourion à Jaffa avec deux missiles balistiques, Zulfiqar et le missile hypersonique Palestine-2, en solidarité avec les Gazaouis. Simultanément, elles ont frappé le porte-avions USS Harry S. Truman et ses navires d’escorte en mer Rouge avec des missiles balistiques, de croisière et des drones. Il s’agissait de la deuxième attaque en 24 heures contre ces cibles en réponse aux atrocités américaines.
A signaler aussi que dans la nuit du 25 au 26 mars 2025, les États-Unis ont lancé une série de frappes aériennes contre des positions des « rebelles houthis » au Yémen, marquant une nouvelle étape dans l’escalade militaire qui secoue la région. Ces bombardements, menés dans le cadre d’une campagne visant à neutraliser les capacités offensives des Houthis, ont visé des cibles stratégiques dans le nord du pays, notamment dans la province de Saada, bastion du mouvement rebelle. Les objectifs incluaient des dépôts d’armes, des centres de commandement et des infrastructures liées aux drones et missiles balistiques des Houthis.
Dans une déclaration relayée par les médias, Donald Trump, a affirmé que « les Houthis seront éliminés une fois pour toutes », soulignant l’objectif américain de mettre fin aux menaces pesant sur la navigation en mer Rouge et sur les intérêts régionaux des États-Unis et de leurs alliés, notamment Israël. La Maison Blanche a également indiqué que ces frappes visaient à « envoyer un avertissement clair à l’Iran », principal soutien des Houthis, dans un contexte de tensions croissantes avec Téhéran.
Les officiels Houthis ont rapidement dénoncé cette « agression américaine ». La chaîne Al-Masirah, affiliée au mouvement, a rapporté que les bombardements avaient causé des pertes humaines et matérielles, bien que les chiffres exacts restent flous. Abdel Malek al-Houthi, chef des rebelles, a promis une riposte.
Le Conseil politique suprême des Houthis a également condamné l’opération, la liant à une tentative américaine de soutenir Israël face à l’« axe de la résistance ». Ces frappes interviennent après une série d’attaques revendiquées par Sanaa contre des navires en mer Rouge, en solidarité avec les Palestiniens de Gaza. Elles s’inscrivent dans une campagne américaine entamée plus tôt en mars, visant à affaiblir les capacités militaires des rebelles. Alors que le Yémen reste plongé dans une crise humanitaire, cette nouvelle vague de violence risque d’aggraver les tensions régionales.
Par ailleurs, les forces yéménites ont lancé des attaques aux drones contre des sites militaires israéliens dans la ville occupée de Jaffa, près de Tel-Aviv. Ces frappes « ont atteint avec succès leurs cibles », a indiqué le communiqué, rappelant que ces opérations ont été menées « en solidarité avec le peuple palestinien opprimé à Gaza ».
Les forces yéménites ont réaffirmé leur engagement à résister à l’agression américaine, qui vise leur nation en raison de leurs opérations pro-palestiniennes, et ont promis de répondre à l’escalade des tensions de manière proportionnée.
Malgré les attaques américaines en cours contre le Yémen, qui ont récemment ciblé la ville de Saada dans le nord-ouest du pays, les forces yéménites ont affirmé qu’elles continueront d’interdire aux navires israéliens et à ceux liés à Israël de traverser les principales voies maritimes. Les Américains assurent que 70% du trafic maritime US dans la région a été annulé.
Les forces yéménites ont commencé à appliquer l’interdiction en octobre 2023 en réponse au déclenchement de la guerre génocidaire israélienne et au renforcement de son blocus déjà étouffant sur la bande de Gaza. Elles ont suspendu les frappes après que le régime sioniste a conclu un accord de cessez-le-feu avec le mouvement de résistance Hamas à Gaza, mais elles ont repris les attaques ce mois-ci pour contraindre le régime de Tel-Aviv à cesser ses violations de l’accord et la reprise ultérieure de la guerre, ainsi que pour le forcer à lever le blocus.
Mardi, les forces yéménites ont revendiqué avoir ciblé l’aéroport Ben Gourion à Jaffa avec deux missiles balistiques, Zulfiqar et le missile hypersonique Palestine-2, en solidarité avec les Gazaouis. Simultanément, elles ont frappé le porte-avions USS Harry S. Truman et ses navires d’escorte en mer Rouge avec des missiles balistiques, de croisière et des drones. Il s’agissait de la deuxième attaque en 24 heures contre ces cibles en réponse aux atrocités américaines.
A signaler aussi que dans la nuit du 25 au 26 mars 2025, les États-Unis ont lancé une série de frappes aériennes contre des positions des « rebelles houthis » au Yémen, marquant une nouvelle étape dans l’escalade militaire qui secoue la région. Ces bombardements, menés dans le cadre d’une campagne visant à neutraliser les capacités offensives des Houthis, ont visé des cibles stratégiques dans le nord du pays, notamment dans la province de Saada, bastion du mouvement rebelle. Les objectifs incluaient des dépôts d’armes, des centres de commandement et des infrastructures liées aux drones et missiles balistiques des Houthis.
Dans une déclaration relayée par les médias, Donald Trump, a affirmé que « les Houthis seront éliminés une fois pour toutes », soulignant l’objectif américain de mettre fin aux menaces pesant sur la navigation en mer Rouge et sur les intérêts régionaux des États-Unis et de leurs alliés, notamment Israël. La Maison Blanche a également indiqué que ces frappes visaient à « envoyer un avertissement clair à l’Iran », principal soutien des Houthis, dans un contexte de tensions croissantes avec Téhéran.
Les officiels Houthis ont rapidement dénoncé cette « agression américaine ». La chaîne Al-Masirah, affiliée au mouvement, a rapporté que les bombardements avaient causé des pertes humaines et matérielles, bien que les chiffres exacts restent flous. Abdel Malek al-Houthi, chef des rebelles, a promis une riposte.
Le Conseil politique suprême des Houthis a également condamné l’opération, la liant à une tentative américaine de soutenir Israël face à l’« axe de la résistance ». Ces frappes interviennent après une série d’attaques revendiquées par Sanaa contre des navires en mer Rouge, en solidarité avec les Palestiniens de Gaza. Elles s’inscrivent dans une campagne américaine entamée plus tôt en mars, visant à affaiblir les capacités militaires des rebelles. Alors que le Yémen reste plongé dans une crise humanitaire, cette nouvelle vague de violence risque d’aggraver les tensions régionales.